Fiançailles de la Très Sainte Vierge

MESSAGE DU 23 JANVIER 1967

Fiançailles de la Très Sainte Vierge

Ce jour a été pour moi un jour d’angoisse. J’ai accepté ce sacrifice selon la loi et j’ai obéi.

Obéissez, vous aussi, mes enfants ! Obéissez, l’obéissance, c’est ce qui vaut !

J’ai accepté la croix, je l’aie suivie tout mon chemin, avec grande joie, avec grand amour, tout pour l’amour de l’humanité. Priez, priez, ayez confiance en moi et vous aurez tout. J’étendrai sur vous mon manteau et aussi sur tous les absents, pour que tous arrivent en ma présence, pour vous accueillir tous ici entre mes bras, pour vous presser sur mon cœur : tous, bons et mauvais. Je vous aime tant, tant, mes enfants ! Je suis venue sur cette terre pour vous sauver, pour vous aider, pour vous donner paix, amour. Je suis Mère de miséricorde, de pardon, de paix et de salut. Aimez-vous les uns les autres, mes enfants, aimez-vous comme des frères : Jésus l’a toujours dit à tous.

Jésus aimait tout le monde, bons et mauvais. Il s’approchait des riches et des pauvres, de tous ! Il aimait tout le monde. Il leur donnait des paroles de réconfort et de joie. Vous aussi, approchez-vous de tous. Dites-leur des paroles de réconfort, de joie. Aimez-vous, tous, donnez à tous réconfort, joie, paix et amour.

Promettez ici, à mes pieds, mes enfants, de m’aimer beaucoup, d’amener des âmes ! Je les illuminerai, j’enflammerai les cœurs, pour vaincre dans la lutte contre le démon et pour aimer tellement, tellement mon Fils Jésus. Promettez-moi, mes enfants, promettez !

Moi, je vous promets d’étendre mon manteau sur tout le monde, d’enflammer tous les cœurs et de répandre sur mes enfants paix, grâces, amour, ici sur la terre et d’avoir ensuite le triomphe avec moi là-haut, dans le ciel.

Je vous bénis et vous serre dans mes bras. (La Madone bénit).

Au revoir, mes enfants, au revoir toujours, ici sur la terre et dans le ciel.